27 novembre 2007
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18:13
par Romain Migus
La campagne médiatique internationale contre le projet de Réforme partielle de la Constitution Bolivarienne proposé aux vénézuéliens en referendum populaire, nous oblige à revenir sur certains évènements de l'année 2007 afin de mettre en contexte la violence de la déstabilisation contre le gouvernement bolivarien. Blocus alimentaire, montage médiatique, faux sondages, mouvement étudiant d'opposition ultra violent : cette longue chronique, et les vidéos auxquelles elle renvoie, propose de revenir sur certaines fausses vérités véhiculées ces derniers temps par les entreprises de communication internationales.
La campagne médiatique internationale contre le projet de Réforme partielle de la Constitution Bolivarienne proposé aux vénézuéliens en referendum populaire, nous oblige à revenir sur certains évènements de l'année 2007 afin de mettre en contexte la violence de la déstabilisation contre le gouvernement bolivarien. Blocus alimentaire, montage médiatique, faux sondages, mouvement étudiant d'opposition ultra violent : cette longue chronique, et les vidéos auxquelles elle renvoie, propose de revenir sur certaines fausses vérités véhiculées ces derniers temps par les entreprises de communication internationales.
Commençons par la fin !
Hugo Chavez, fort de l'hégémonie médiatique dont il jouit depuis la mise au pas de tous les media vénézuéliens, a décidé de lancer un Coup d'Etat contre la Constitution. Après avoir élaboré une réforme constitutionnelle en secret, sans tenir compte de la participation des différents secteurs de la société, la Constitution a été discrètement approuvée par l'Assemblée Nationale, et les Vénézuéliens se sont réveillés malgré eux avec une nouvelle Charte suprême…
Hugo Chavez, fort de l'hégémonie médiatique dont il jouit depuis la mise au pas de tous les media vénézuéliens, a décidé de lancer un Coup d'Etat contre la Constitution. Après avoir élaboré une réforme constitutionnelle en secret, sans tenir compte de la participation des différents secteurs de la société, la Constitution a été discrètement approuvée par l'Assemblée Nationale, et les Vénézuéliens se sont réveillés malgré eux avec une nouvelle Charte suprême…
Mais malheureusement le gouvernement bolivarien ne respecte rien. Pas même, la manière dont les démocraties occidentales imposent des changements constitutionnels à l'opposé des choix de leurs Peuples.
Dans le Venezuela dictatorial décrit par les media, une réforme constitutionnelle ne s'impose pas aussi facilement que dans notre démocratie française. Le processus est plus long et surtout beaucoup plus démocratique et inclusif. [...]
Published by Cercle Bolivarien de Paris
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dans
La Revolution Bolivarienne